@font-face { font-family: "Times New Roman"; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman"; }table.MsoNormalTable { font-size: 10pt; font-family: "Times New Roman"; }div.Section1 { page: Section1; } Remplaçant Natalie Dessay initialement annoncée, la jeune soprano française a pris de gros risques en abordant Blanche de la Force, rôle taillé sur mesures pour les possibilités vocales ectrêmement particulières de Denise Duval. Elle a eu raison car, sans jamais donner l’impression de forcer, elle a franchi chaque ecueil avec un aplomb fantastique. La couleur du timbre, assez enfantine, presque immaterielle parfois, sied idéalement au « petit lièvre « décrit par le Chevalier en parlant de sa sœur, l’instrument possédant par ailleurs les ressources indispensables aux grands paroxysmes dramatiques. R.Martet. Operamagazine A ces atouts s'ajoute une carte maîtresse décisive : la distribution vocale (…) La couronne en échoit à Karen Vourc'h, Blanche de la Force à la fois vulnérable et farouche. Comme pour sa Mélisande, salle Favart, en juin dernier, la jeune soprano impose cette dualité, apanage des plus grandes : l'évidence et le mystère, le manifeste et l'insondable. On n'oubliera pas de sitôt son apparition finale : seule, debout parmi les carmélites étendues au sol comme des gisants, entonnant un Veni creator solaire, les bras en croix. Morte ? Non, transfigurée. Changeant sa mort en aiguillon. En victoire. En assomption. G.Macassar – Telerama Karen Vourc’h, lumineuse et émouvante Blanche, à la fois brûlante mais secouée de doute, d’inquiétude. Alain Duault. Classica Une Blanche foncièrement touchante et engagée (…) C.Merlin – Le Figaro Last but not least, une distribution à la fois prestigieuse et idiomatique que Carsen lui-même a avoué être la meilleure qu’il ait jamais eue, et comportant trois prises de rôles majeures : Blanche, Mère Marie et Madame Lidoine. Après sa récente Mélisande à l’Opéra Comique, Karen Vourc’h s’affirme comme une artiste de premier ordre. Sa Blanche investie et habitée, d’une musicalité parfaite, bouleverse la salle. M.Barichella . Altamusica.com L'autre motif d'enthousiasme est la distribution vocale. A commencer par la jeune Karen Vour'ch qui, dans le rôle de Blanche de la Force, et après avoir livré une bouleversante Mélisande à Paris convainc par un chant d'une parfaite musicalité et un jeu habité. D'une présence faite autant de délicatesse que de ténacité, le soprano français délivre une émotion et une force intérieure rares. E.Andrieu . Anaclase.com Karen Vourc’h ,Blanche de la Force sincère et passionnée, dont la voix possède toute la fraîcheur que requiert le rôle. C.Colombeau – Arts et Spectacles.com Délicate (…) d'une belle présence vocale et dramatique R.Machard – Le Monde Karen Vourc’h dans le rôle de Blanche de la Force, immatérielle jusque dans son apparition virginale à la fin de l’œuvre, véritablement transcendée par le martyre. M.Le Naour – concertclassic.com Dans le rôle de Blanche de la Force, la soprano Karen Vourc’h ne quitte jamais un registre vocal qui sait exprimer, dans la durée, une inextinguible puissance intérieure toujours empreinte de retenue dans les paroles aiguës. En témoignent ses différents duos : celui où elle réprimande l’enfantillage orgueilleux de Soeur Constance (Hélène Guilmette) ou celui de ses adieux bouleversés avec son frère, le chevalier de la Force (Frédéric Antoun). J.L Vannier - NicePremium
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