Critiques Pelleas et Melisande / Debussy
Février 2014
En Mélisande, la jeune Karen Vourc'h est tout aussi extraordinaire, et séduit par son timbre d'une magnifique clarté, même si la voix s'est étoffé depuis quelque temps. L'artiste possède surtout une rare intelligence musicale, et iI faut la voir investir l'héroïne, successivement oiseau fragile, femme prostrée, amante passionnée ou, à l'inverse, femme mutine voire manipulatrice.
E.Andrieu / Operaonline
« un pelleas d anthologie «
La soprano Karen Vourc’h, idéale Mélisande est d’une émouvante sauvagerie d’oiseau blessé. Leur duo d’amour est un chef d’œuvre de sensualité : Pelléas enfouit simplement ses doigts dans les cheveux de Mélisande. Leur diction en français, si difficile dans la déclamation, est impeccable.
Nicole Duaut / JDD
Du beau chant avec le couple titre idéal, les jeunes et beaux Karen Vourc'h et Philipp Addis, amoureux crédibles et vocalement parfaits
F.Hudry/rts.ch
« un sublime accomplissement «
la sensuelle et candide Mélisande de Karen Vourc'h,
Armelle Heliot/Le Figaro
« Près de quatre années ont passé depuis les premiers pas du couple exemplaire que formaient Karen Vourc’h et Phillip Addis. Elle a gagné en assurance et en fantaisie - joueuse dans la scène de la fontaine, libre et comme improvisant pour la chanson de la Tour - et fait la Mélisande la plus naturelle, la moins composée qu’on ait croisée «
JC Hoffelé/concertclassic.com
Karen Vourc’h retrouvera sa Mélisande de grâce et de mystère, oiseau venu de nulle part au timbre chatoyant et à la diction de cristal
C.Alexandre/Webthea
Karen Vourc’h (Mélisande), très physique, tour à tour fragile, énigmatique, froidement sincère (à son mari : « je ne suis pas heureuse ici »), joyeusement passionnée et terriblement séductrice.
France TV
Déjà présents en 2010, Phillip Addis et Karen Vourc'h sont un couple idéal. Superbe de corps et de voix, Karen Vourc'h chante simplement les phrases de son rôle, sans effets vaporeux stéréotypés.
A.Zurcher / Atelier du chanteur
Le couple reste celui de 2010 : Karen Vourc’h (alors une « révélation ») et l’ardent Phillip Addis en Pelléas. L’un et l’autre impeccables vocalement et donnant à leur passion plus d’accent dramatique que d’étrangeté poétique
C.Samuel / Qbuzz