...Karen Vourc'h a tout pour être la grande Mélisande du moment et des années à venir. Ce n'est pas une madone préraphaélite. Elle ne manque pas de sensualité mais semble toujours ailleurs, en décalage par rapport aux autres personnages. Elle sait donner une grande variété de couleurs à sa voix et à son jeu, puissante à l'occasion mais surtout intelligemment expressive, pleine d'elle-même et d'on ne sait quelle mystère souriant ou affolé. On sent bien à quel point ce résultat procède d'un travail de fond.

J.Bonnaure. Opéra Magazine, mois de janvier 2009

 (...) La Mélisande de Karen Vourc'h aux pieds nus, allie la fragilité, la fraîcheur du timbre, la fluidité mélodique, l'innocence sans mièvrerie, la pureté d'âme (....)

G.Masson, Le Républicain Lorrain.